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Comac, le rêve aéronautique Chinois

Comac, le rêve aéronautique Chinois

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by Jules

Si vous avez déjà pris l'avion dans votre vie, il est très probable que vous soyiez monté à bord d'un Airbus ou d'un Boeing, mais il y a une nouvelle entreprise qui fait parler d'elle dans ce milieu : Comac, un nouveau challenger chinois.

Alors, qui est ce nouvel acteur d'un milieu très fermé ? Comment compte-t-elle faire la différence ? Et surtout, peut-elle vraiment rivaliser avec les géants occidentaux ? C'est ce que nous allons décrypter dans votre allongé du jour.

🧑‍✈️L'atterrissage d'un nouveau challenger

Boeing et Airbus ont longtemps régné en maîtres sur le marché des avions commerciaux. Un duopole bien rodé, avec des barrières à l’entrée si hautes qu’elles semblaient infranchissables. Mais voilà, la Chine ne connaît pas le mot “impossible”. Et Comac, son constructeur aéronautique, s’invite dans la cour des grands avec un C919 qui veut jouer dans la même ligue que l’A320 et le 737.

Comac C919

Derrière cette percée, un soutien XXL de Pékin. Parce qu’en matière d’aviation, ce n’est pas juste une question d’industrie, c’est aussi une question de souveraineté. Chaque avion acheté chez Airbus ou Boeing, c’est une dépendance stratégique maintenue. Comac, c’est la réponse chinoise : un avion made in China pour un marché chinois colossal.

La stratégie est claire : un pied d’abord sur le territoire domestique – où les compagnies aériennes locales ont déjà commencé à remplir le carnet de commandes – avant d’aller voir ailleurs. Et vu la pression de Pékin, difficile d’imaginer Air China ou China Eastern aller voir ailleurs pour renouveler leur flotte. Un marché captif et une industrie boostée par des subventions… Comac a des ailes solides.

Mais est-ce suffisant pour bousculer les deux géants du ciel ? Boeing et Airbus n’ont pas dit leur dernier mot, et l’international reste un terrain de jeu bien plus complexe. Car vendre un avion, ce n’est pas juste convaincre une compagnie aérienne, c’est aussi s’assurer du réseau de maintenance et des certifications internationales. Et là, Comac a encore du chemin à parcourir.

🌬️ Turbulences à l'horizon

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par Jules

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